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Quatorze photographies

pour illustrer

le roman Messaline d’Alfred Jarry

Ou

Pho

Po



… ils ne perçurent plus que des taches noires (p. 107)




... d’une courbe pleine (Dumont, p. 81)




... ils palpitaient libres (p. 39)




... l’effigie grossière du Bonheur lui semble faire signe ... que son réel séjour n’est point là (p.41)






... je veux la lune (p. 107)




Messaline contemple dans sa glace à main les massifs, parterres de buis en tableaux ... mais les frondaisons de deux verts, platane et lierre, et les pelouses de liquide acanthe restent plus impénétrables qu’un masque qui saurait fermer les yeux (p. 54 & p. 56)




La flamme ferma tous ses doigts sur le cadavre voilé ... le souffle réuni de tous les arbres (p. 83)







... les statues s’animaient parmi les xystes (p. 56)



... ô tue-moi (p. 140)




Et c’est d’avoir mordu dans tout le mal / Qui vous a fait une bouche si pure. (« Madrigal », p. 171)




... et Messaline, cheveux épars et secouant un thyrse, sentit l’encens du vin baiser ses cothurnes, puis enfumer sa tête jusqu’à ce que tout prit pour eux l’allure désordonnée d’une ronde, comme les dieux se réjouissent au tournoiement des soleils. / Et cette gyration d’hommes, plus confuse que l’écrasement des raisins, c’était le monde de tous les anciens amants de la nouvelle mariée (p. 137)




Mon sexe est le plus petit ! (p. 125)


Photographies par Paul Edwards, prises à Rome, Paris, Reims...