(c)


TRAVAUX PRATIQUES


par


les étudiants de Marc Décimo

à l’Université d’Orléans.

Ou

Pho

Po

PRÉLIMINAIRE


Que la lumière de l’Ouphopo éclaire jusqu’aux champs de la Beauce et au-delà n’étonnera pas autant que les éclairs qui, parfois, d’une reflet éblouissent le tirage. L’image de l’Ouphopo, donnée par une lumière verte, filtrée à travers les persiennes de l’un de ses propagateurs, a de toute évidence laissé des traces : comme un plaque recouverte d’une substance impressionnable, le Club Photo Universitaire d’Orléans (C.P.U.O.), un as(sociation) à but non lucratif régie par la loi de 1901, s’est ainsi trouvé saisi. Composé de membres plus ou moins actifs, plus ou moins volontaires, fédérés en un Ubureau, – parce que l’art, comme la Science, s’administre –, le club(u), dont l’objectif tout au long de l’année est d’initier les néophytes au labo N. & B. et de révéler les talents latents (ce qui, souvent, nécessite plus d’une minute et demie), le club(u) a institué il y a quatre ans un concours régional afin d’inviter les étudiants à cliquer toujours davantage. Les clichés ici présentés bénéficieront donc de la glouare d’être jugés, primés et exposés dans un coulouar ou le that’s hall de l’Ubuniversité d’Orléans. Au sein de l’as(sociation), le choix des motifs annuels ne devait s’imposer qu’après de multiples tours du compte-pause. Le second thème mis au concours portait sur l’eau. « Le reflet ! » sembla couler de source comme thème premier, à la condition d’éviter ou pas la superposition des deux recherches.


Si parfois des légendes font défaut, c’est que le photographe qui a travaillé selon sa sensibilité, son ouverture d’esprit et de diaphragme n’a pas jugé bon de nous éclairer de sa lanterne inactinique.


Marc Décimo

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